Le fait que Nicolas Sarkozy considère comme un "non événement" un débat auquel lui-même ou ses troupes ont essayé de s'opposer, n'est pas un événement en soi. Il ne peut sans doute tout simplement pas imaginer un seul instant que l'on puisse s'opposer à sa connaissance innée de ce qui est bon pour la France et les français.
Ses stratèges ont quand même du faire tourner leurs modèles pour mesurer l'impact de ce débat fondateur d'une nouvelle pratique de la vie politique en France. Un mur est tombé !
En tout cas le visage crispé sur BFM TV de la sarkozette de service Valérie Pécresse en disait plus qu'un long discours quand on le comparait au visage sérieux mais souriant des débateurs.
Cruauté d'une télévision libre qui ne s'est pas transformée en instrument de propagande.
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