Frère de ministre et prévenu à la fois

Un peu "d'humain" dans un monde de "brutes"

Monsieur Michel Rocard, premier ministre, avait déclaré en son temps que la France ne pouvait pas supporter toute la misère du monde. La jeune, belle, talentueuse et déterminée ministre de la justice ne peut pas davantage être jugée responsable de tous les démêlés judiciaires de sa nombreuse fratrie.

Si besoin était, cet épisode cruel de la vie, lui rapellera sans doute que la complexité du monde réel se plie rarement à la rationalité des pensées les plus abouties.

Madame Rachida Dati mesure sans doute chaque jour l'abîme de la différence entre la culpabilité et le sentiment de culpabilité. La justice des "hommes" décide souverainement de la culpabilité. Ce n'est pas une mission régalienne évidente, les "erreurs" judiciaires en sont une preuve toujours cruelle. La conscience est le seul juge du sentiment de culpabilité, et comme le démontre si bien Eric Berne, une vie peut ne pas suffire pour trouver une réponse.

 

Deux frères de Rachida Dati poursuivis pour trafic de drogue

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