Les 1.500 pirates somaliens qui travaillent pour une poignée de patrons basés au Kenya, à Dubaï ou au Liban coûtent annuellement une centaine de millions de dollars au transport maritime. en effet en sus des rançons qui sont el plus souvent versées pour récupérer hommes, cargaisons et navires, il faut ajouter l'augmentation des primes d'assurance, le coût de l'immobilisation des navires et les primes qu'il faut verser aux équipages. Le cout financier des moyens militaires internationaux mobilisés pour sécuriser la région n'est pas compris dans cette somme.
Le métier de bandit de grand chemin est l'un des plus anciens du monde et date sans doute du début des voyages. Le retour de la sécurité sur mer dans cette zone dépend de las sécurisation d'un pays soumis à plusieurs décennies de guerre civile et d'absence d'état de droit...
La communauté internationale a décidé en avril 2009 d'investir 213 millions de dollars pour aider à restaurer l'ordre et lutter contre la piraterie. Dans un pays divisé, en proie à des luttes religieuses et tribales pour le pouvoir, cet effort devra sans doute durer un certain temps.
The East African - Piracy costs shipping firms over $100m annually, says report.
Les commentaires récents