Retour à l'envoyeur d'un compliment "trop direct"
La petite phrase sur l'intelligence et la réélection du premier ministre espagnol José Luis Zapatero distillée par Nicolas Sarkozy a fait bouger le monde médiatico politique européen
Le compliment au second degré sur la réélection du socialiste espagnol était semble-t-il un coup de pied en vache (landaise ?) au socialiste Lionel Jospin et à son échec au premier tour des élections présidentielles de 2002. Il a également récemment écharpé le président américain Barrack Obama et la chancelière allemande Angela Merkel.
Le propos "privé" rapporté notamment par le quotidien Libération a rapidement fait le tour de la planète médiatico-politique.
Ségolène Royal a présenté, à son habitude, des excuses à José Luis Zapatero, l'Elysée a replacé la remarque dans son contexte et les quotidiens espagnols ont glosé sur "Paris capitale du Monde" et sur la propension de Nicolas Sarkozy "rabaisser" ses commensaux.
Le quotidien madrilène El Mundo note perfidement que le seul chef d'état à trouver grâce aux yeux du président français est Silvio Berlusconi, le premier ministre italien dont il salue la réélection en forme de plébiscite...
http://www.elmundo.es/elmundo/2009/04/16/espana/1239870572.html
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