Le Val d'Oise ne veut pas du compost urbain de Triel
Le parc régional du Vexin français ne veut pas du compost urbain de Triel-sur-Seine. Il s'agit du résidu ultime du traitement des déchets urbains des communes du Sivatru dans l'usine Veolia de Triel-sur-Seine.
Un premier dépôt dans la commune de Epiais-Rhus a été retiré après délibération du Conseil municipal pour s'opposer à cet épandage. Le compost comprenait notamment de nombreux déchets domestiques non décomposables (morceaux d'aluminium, de plastique).
Après le refus par les habitants de l'épandage à Achères au coeur du pays Fort dans le Cher, des "steps" (boues résiduelles) de l'usine de traitement des eaux usées franciliennes d'Achères (Yvelines), c'est un nouvel échec de valorisation des déchets ultimes issus du traitement des résidus urbains.
Ces déchets ultimes provenant du traitement de résidus urbains franciliens dont la boucle de Chanteloup s'est fait - "nolens volens" - une spécialité ne trouvent pas facilement preneur. Il faudra imaginer de nouvelles manières de destruction ou de valorisation.
C'est l'histoire ancenne de la patate chaude dont on veut de débarasser. A moins de trouver une manière de valoriser ces déchets "ultimes", il y a fort à craindre que ceux qui en héritent ne les gardent de plus en plus longtemps.
Un vaste terrain de recherche et d'expérimentation pour l'université Véolia qui est installée à proximité, sur la commune de Jouy-le-Moutier, dans le massif de lHautil.
Des ressources potentielles pour le pôle "éco-constrction" en cours de développement par la CA2RS sur le territoire de la boucle de Chanteloup.
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